Interview de la sophrologue Marie-Agnès Archambault

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Sophro-Actu
poursuit sa série de témoignages de sophrologue. Marie-Agnès Archambault exerce à Épinay-sur-Orge.


Quel a été votre parcours professionnel avant de devenir sophrologue ?

Avant d’être sophrologue et encore aujourd’hui, j’exerce la profession d’assistante sociale.

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Je travaille auprès d’enfants en situation de handicap visuel. Même si ce métier est passionnant, je me suis rendue compte de mes limites professionnelles et j’ai pris conscience que la relation d’aide et la notion de soins devenaient complémentaires. Mais au départ, je ne savais pas comment concilier les deux. Il faut reconnaitre qu’au moment de choisir une orientation professionnelle après mon bac, j’avais déjà hésité entre assistante sociale et infirmière….

A quel moment de votre vie avez-vous croisé la sophrologie ?

J’ai commencé la sophrologie comme on fait de la gym ou du tennis, par hasard !!

L’année de mes 40 ans, après des périodes plus ou moins faciles à vivre tant personnellement que professionnellement, les cours collectifs de sophrologie sont arrivés à point nommé. Et c’est au cours de ces cours collectifs que l’idée de devenir sophrologue s’est imposée à moi, par 2 fois.

Comment vous êtes-vous formée à la sophrologie ?

Après avoir pris conseils auprès de la sophrologue qui animait les cours collectifs, celle-ci m’a fait part de son projet de création d’une école: l’Ines.

J’ai rapidement adhéré à son projet pédagogique et j’ai fait partie de la première promotion de l’Ines. J’ai même eu la chance et l’honneur de participer au dernier séminaire de Raymond Abrezol.

Si vous deviez donner une définition de la sophrologie, quelle serait la vôtre ?

La sophrologie est le moyen d’être vraiment soi-même en harmonie. Et j’y ajouterai une dédicace de Raymond Abrezol :

 » Le bonheur est en vous, il est vain de le chercher ailleurs « .

Avez-vous un domaine d’intervention particulier ?

J’exerce mon activité de sophrologue en séances individuelles (gestion du stress, troubles du sommeil, manque de confiance en soi etc…)  et en ateliers de « développement personnel ».

Avez-vous des projets autour de cette activité ?

J’envisage de mettre en place un atelier à destination des personnes âgées, afin de leur permettre de sortir de leur isolement mais aussi afin de reprendre confiance dans leurs capacités. J’aimerai aussi ouvrir un atelier en directions des lycéens et des étudiants afin de leur permettre de mieux vivre le stress généré par les exigences des professeurs, la pression des examens et des concours…