Dans ce nouveau portrait, découvrez le parcours de la sophrologue Ségolène Fasquel. On a souvent coutume de dire que « lorsqu’une porte se ferme, une autre s’ouvre ». Eh bien, cette thérapeute a parfaitement su rebondir et trouver sa voie malgré une période complexe. Une belle histoire qui replace l’humain au centre.

Ségolène Fasquel possède un fort ancrage dans le monde paramédical. En effet, fille d’infirmière la jeune femme s’est très vite tournée vers le métier d’aide-soignante. Le fait « d’être plus que quelqu’un qui soigne » l’épanouit pleinement. Ségolène cultive donc une passion pour les relations humaines, en particulier avec les personnes âgées. Un public avec lequel elle a longtemps travaillé. Alors, sa mission allait bien au-delà des soins. Elle était un rayon de soleil dans leur quotidien, s’efforçant toujours de « faire que la vie des gens soit douce« . Cependant, un accident de travail bouleverse son quotidien. Ségolène subit une fracture de l’épaule et des complications ultérieures. Cette période, marquée par deux ans d’inactivité et un sentiment d’errance, l’a conduite à pratiquer la sophrologie sur les conseils de son médecin. Dans cette discipline, elle a retrouvé un sens et une vocation renouvelée, transformant ses épreuves en une force pour aider autrui.

La rencontre de Ségolène avec la sophrologie a été pour elle, un réel tournant professionnel et personnel. Cette pratique a littéralement élargi son horizon, l’incitant à embrasser une nouvelle voie. En effet, la perspective d’être au service du développement d’autrui l’enchante. Malgré un déménagement à Annecy en 2020, en pleine pandémie, elle entame une formation. Un cursus que la jeune femme achève en mars 2023. Devenue sophrologue, Ségolène Fasquel¹ ouvre son cabinet libéral, ouvert du mardi au vendredi. D’ailleurs, très prochainement, la thérapeute devrait proposer des consultations à la Maison Gaïa, une structure dédiée à la femme et à la périnatalité. Un projet parfaitement cohérent, puisque Ségolène s’est spécialisée en sophrologie périnatale. La sophrologue accompagne donc des femmes pendant leur maternité, une étape profondément joyeuse et inspirante. Envisageant d’abord de consolider sa jeune activité indépendante, elle aspire à terme, à collaborer avec d’autres thérapeutes et poursuivre ses formations. Ainsi, Ségolène a su renouer avec les aspects positifs de son ancienne activité tout en accompagnant d’une autre façon.