Stéphanie Chinarro, une sophrologue rattrapée par son ancienne vie professionnelle

sophrologue Stéphanie Chinarro

Dans ce nouveau portrait, découvrez l’évolution professionnelle de la sophrologue Stéphanie Chinarro. Une thérapeute à la double casquette qui fait le pont aujourd’hui son ancienne vie professionnelle et sa nouvelle. Retour sur un parcours centré sur la volonté d’accompagner et d’écouter.

De la radiologie à la sophrologie

Stéphanie Chinarro¹ exerce pendant 25 ans le métier de manipulatrice en radiologie. Un poste dans lequel elle évolue rapidement et balaye de nombreuses techniques. En effet, durant sa carrière, elle travaille en clinique, en cabinet privée, et même en hôpital. Appréciant l’aspect technique, Stéphanie prépare les patients, les accompagne durant l’examen et collabore avec les médecins radiologues. Son travail, initialement en adéquation avec ses valeurs et sa capacité d’empathie, révèle finalement une frustration : le manque de temps à consacrer à l’écoute des patients. Parallèlement, après deux décennies dans le même milieu, la manipulatrice en radiologie estime en avoir fait le tour. Alors, Stéphanie se met en quête d’une profession plus alignée avec son désir d’accompagnement. Elle découvre alors la sophrologie, déjà familière de son mari, sportif de haut niveau. Ainsi, ce chemin de reconversion commence par une exploration personnelle de la sophrologie, avant de mener à une formation professionnelle.

La double casquette de la sophrologue Stéphanie Chinarro

Cela fait désormais deux ans, que la sophrologue Stéphanie Chinarro exerce dans son cabinet à Saint-Estève (66). Elle offre des séances individuelles et de groupe, accueillant une grande diversité de publics. Son intérêt pour la variété des sujets abordés reflète sa curiosité et son désir de ne priver personne de son expertise. Les séances collectives, en particulier, lui tiennent à cœur pour leur aspect de partage. D’ailleurs, la thérapeute anime des séances collectives tous les premiers jeudis de chaque mois et développe également des ateliers thématiques. En parallèle, Stéphanie exerce à temps partiel en tant que manipulatrice en radiologie dans un centre de rééducation et réadaptation. Elle profite même de ce poste pour déployer la sophrologie au sein de l’établissement. Alors, Stéphanie accueille les patients pour des séances individuelles et projette de développer des séances de groupe pour les soignants, en accord avec le centre. Ainsi, la sophrologue se sent parfaitement à sa place et aspire à continuer d’avancer en se formant davantage, cherchant toujours à enrichir son approche et à élargir son impact.

En savoir plus

Portraits

Et si c'était moi ?

Envie d'en lire plus ?