Sophie Taillard¹ réalise des études de journalisme à Paris. Un milieu dans lequel elle évoluera ensuite pendant dix ans. En effet, durant sa carrière, la journaliste travaille pour la presse écrite locale hebdomadaire et quotidienne. Sophie couvre alors une large gamme de sujets pour trois médias. Passionnée de lecture et de littérature, elle a toujours eu une curiosité insatiable pour les grandes questions politiques et sociétales. Une curiosité qui la pousse à quitter le journalisme, pour s’orienter vers la communication politique. Sophie collabore donc étroitement avec des élus, des groupes d’élus ainsi que des collectivités. Son chemin croise celui de la sophrologie dans un centre anti-douleur dans le cadre d’un suivi contre la fibromyalgie. En 2015, Sophie Taillard décide de réorienter sa carrière et embrasse pleinement sa passion pour le soin et l’accompagnement d’autrui en se formant au métier de sophrologue. Son parcours illustre une transition harmonieuse marquée par le désir de transmettre une méthode qui lui a été très bénéfique.

La sophrologue Sophie Taillard est désormais pleinement épanouie et a posé ses valises dans le Puy-de-Dôme. Elle y partage son temps entre deux cabinets, à Randan (63) et Clermont-Ferrand (63), proposant des séances exclusivement en présentiel. Avec une approche axée sur l’accompagnement individuel, la thérapeute se déplace également à domicile. En effet, elle s’adapte ainsi aux spécificités de la zone rurale dans laquelle elle exerce. Son activité est riche et diversifiée : en plus de la sophrologie, Sophie continue de collaborer avec un parlementaire, pour qui elle rédige des discours et gère la communication. Appréciant élargir son champ d’action, la sophrologue anime des ateliers et des conférences, notamment pour les seniors, en partenariat avec l’Arsept². De plus, elle intervient également dans une cellule Covid long de son territoire et envisage de développer des projets avec une diététicienne nutritionniste et une thérapeute familiale. Enfin, passionnée par la diversité et la richesse de ses projets, Sophie aspire à intervenir dans les écoles et à s’engager dans un service de soin palliatif en tant que bénévole.