Benjamin Perreau, un sophrologue au cœur de l’accompagnement

sophrologue sophrologie portrait Benjamin Perreau

Après avoir découvert sa passion pour la sophrologie, Benjamin Perreau a décidé d’en faire son métier en devenant sophrologue. Cette passion l’anime et l’accompagne dans la création de nouveaux projets, lui permettant d’accompagner de nombreuses personnes victimes de traumatismes. 

Un coup de foudre pour la sophrologie

Autrefois conseiller de gestion dans un cabinet d’expert-comptable, Benjamin Perreau¹ a découvert la sophrologie après un burn-out. Bien que ce métier l’ait passionné pendant plus de 10 ans, il avait le sentiment d’en avoir fait le tour. C’est ainsi qu’en pleine remise en question sur son avenir, Benjamin a ressenti de nombreux signaux d’alerte envoyés par son corps.

Douleurs physiques, stress et anxiété avaient peu à peu envahit son quotidien, sans qu’il ne parvienne à le gérer. C’est ainsi qu’en mobilisant ses ressources pour retrouver un bien-être quotidien qu’il découvrit la sophrologie. Au bout de deux séances auprès d’un sophrologue, il prit conscience d’une véritable passion pour cette méthode de relaxation. « Au fur et mesure de la pratique que l’on fait soi-même, on se rend compte que l’on est acteur de son propre bien-être ».

Soutenu et encouragé par son sophrologue, il débute alors une formation au sein de l’Institut de Formation à la Sophrologie² et installe ensuite son cabinet à Evreux où il propose actuellement des séances de sophrologie individuelles.

Un sophrologue avec un accompagnement structuré

Par son ancien métier, Benjamin Perreau a toujours été motivé par l’idée d’accompagner des personnes. Par le passé, l’ancien conseiller de gestion aidait ses clients à créer leur entreprise et à devenir leur propre patron. Ce souhait d’indépendance et d’autonomie est en corrélation avec les changements de vie de Benjamin qui, aujourd’hui, est sophrologue indépendant.

Bien qu’il n’ait pas de clientèle spécifique, ce sophrologue accompagne un grand nombre de personnes souffrant de burn-out, de dépression ou encore des enfants HPI (Haut Potentiel Intellectuel) traversant une période d’anxiété. Aussi, quelle que soit la problématique, Benjamin structure ses séances afin de proposer un accompagnement personnalisé. Cette structure, basée sur différents protocoles appris en formation, lui permet de construire l’ensemble des séances d’accompagnement.

Ainsi, à chaque séance, le sophrologue et son client vont déterminer une intention afin de pratiquer différents exercices adaptés. Ces intentions additionnées vont alors permettre d’atteindre l’objectif final de cet accompagnement, fixé durant la première séance.

Cette organisation permet à Benjamin Perreau d’accompagner au mieux ses clients et de les rendre autonomes dans leur amélioration du quotidien. Bien que ce métier le passionne, le sophrologue ne souhaite pas en rester là et a décidé de fonder sa propre association afin de développer une autre forme d’aide.

Benjamin Perreau, sophrologue et fondateur de Silence à l’écoute

En parallèle de sa reconversion professionnelle, Benjamin Perreau et son frère ont créé leur propre association : Silence à l’écoute³. Aujourd’hui âgée de deux ans, l’association souhaite libérer la parole et aider les victimes de pédocriminalité. Ayant été lui-même victime de ces violences durant son adolescence, Benjamin Perreau tient en premier lieu à ouvrir le dialogue, sensibiliser et informer sur ce mal encore tabou aujourd’hui.

Aussi, le sophrologue possède de nombreuses idées pour compléter son association. La mise en place de formations pour les professionnels en contact avec les enfants et les adolescents, ou encore un espace de dialogue pour les victimes et leurs proches. Ces deux objectifs, actuellement en cours de construction, devraient voir le jour dans le courant du mois de mars 2023.

Ajouté à cela, Benjamin Perreau envisage aussi de marier ses deux projets en faisant entrer la sophrologie au sein de l’association. Pour cela, il a imaginé faire intervenir des sophrologues (et d’autres thérapeutes) dans l’association afin que les victimes puissent aller à leur rencontre et découvrir ces méthodes d’accompagnement.

Cependant, ne voulant pas mélanger ses deux postes, Benjamin Perreau tient à cœur de différencier son métier de sophrologue et celui de fondateur de l’association. Il gardera donc sa casquette de sophrologue uniquement en cabinet, et celle de fondateur de l’association au sein de Silence à l’écoute. Ainsi, il pourra accompagner différemment chaque personne en fonction des besoins.

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