Syndrome du grand coquelicot, la sophrologie pour lui couper l’herbe sous le pied

sophrologie syndrome grand coquelicot

L’homogénéité du groupe prend parfois le pas sur les capacités individuelles. Malheureusement, se fondre dans la masse pour ne pas dépasser est la définition même du syndrome du grand coquelicot. Un nom fleuri pour un comportement personnel délétère. Heureusement, la sophrologie vient au secours de ceux et celles qui ne souhaitent plus se niveler par le bas et enfin couper l’herbe sous le pied à leur syndrome du grand coquelicot.

Mais quel est ce syndrome au nom si poétique ?

Le nom est charmant, mais la réalité est bien triste. De nombreux individus se cachent dans le troupeau pour ne pas faire remarquer leur talent et éviter les jugements d’autrui. Ce comportement délétère porte alors le nom de syndrome du grand coquelicot. Tout simplement, car il représente la célèbre fleur rouge qui poussant plus haute que le reste du champs se fait couper la tête. Malheureusement, la pression du groupe et la vie en collectivité sont souvent vécues comme une pression. Une charge mentale qui pousse à l’uniformité. Ce syndrome, conceptualisé pour la première fois en Australie, vise essentiellement les femmes.

Catherine Bonneville-Morawski¹, directrice d’un cabinet de conseils en mixité et développement des carrières des femmes précise « Il y a un paradoxe entre l’encouragement à l’ambition et la réussite et la difficulté à supporter qu’une personne soit meilleure que les autres ». Le syndrome du grand coquelicot pousse les concernés à minimiser leurs compétences et à renoncer à certaines ambitions, puisque la réussite apporte son lot de remarques désobligeantes. D’ailleurs, une étude menée sur le phénomène montre que 87,3 % des femmes interrogées² auraient subi des critiques lorsqu’elles rencontraient le succès. Fort heureusement, pour dire adieu au syndrome du grand coquelicot, la sophrologie est une excellente méthode qui vous fera prendre conscience de toutes vos capacités et vous aidera à faire fi du regard des autres.

Sophrologie, en finir avec le syndrome du grand coquelicot

Ramasser les lauriers et assumer pleinement son talent peuvent donc être le fruit d’un certain travaille sur soi. En effet, il n’est pas évident pour tous d’accepter la visibilité que cela apporte. Cela signifie être au centre de l’attention, être la cible de certains commentaires peu aimables ou être victime de jalousie. Cependant, le pire serait d’aller dans le sens du groupe et de les priver de votre lumière. La sophrologie est alors votre meilleure amie pour « désenraciner » ce fameux syndrome du grand coquelicot. Grâce à elle, vous pourrez tout d’abord éliminer les tensions (physiques et mentales) que cela provoque chez vous. Adieu la boule au ventre et les troubles du sommeil avant une présentation.

De plus, la sophrologie vous aidera à restaurer votre confiance en vous. Vous prendrez conscience de votre potentiel, de vos capacités et à quel point ce sont vos alliés. Fini de vous sous-estimer et de partager la gloire d’un travail que vous avez réalisé. Grâce à la méthode et à ses exercices basés sur la respiration, la visualisation positive et la détente musculaire, vous apprendrez également à prendre du recul sur la situation vécue ou à venir. Enfin, l’étape finale, sera de faire fi du regard des autres. Car, oui vous avez de la valeur et désormais vous l’assumez !