Médoucine alerte le ministre de la Santé sur le bien-être des Français

Médoucine défend pratiques complémentaires sophrologie

Le 16 février dernier, Médoucine¹, la plateforme de prise de rendez-vous avec des praticiens en médecines complémentaires, a publié une analyse sur le bien-être des Français. Ajouté à cela, le réseau de praticiens a aussi écrit au ministre de la Santé afin de défendre l’utilité des pratiques complémentaires sur la santé des Français. 

Médoucine : le bien-être des Français en berne

En plus de proposer des prises de rendez-vous avec des praticiens recommandés et spécialisés dans les médecines complémentaires, Médoucine a aussi pour objectif d’informer sur l’utilité de ces pratiques, telles que la sophrologie. Le réseau a donc enquêté auprès auprès de 1 001 personnes, âgées de plus de 18 ans, afin d’observer l’état de santé mentale et physique des Français.
De fait, dans ce 5e Observatoire français des médecines douces², Médoucine fait un constat préoccupant. Aujourd’hui, environ « 68 % des Français se sentent fatigués » et plus de la moitié de la population affirment être soumis à une « charge mentale trop importante ».

C’est pour cette raison que Médoucine a décidé d’écrire au ministre de la Santé afin de défendre les multiples pratiques complémentaires et de réclamer une réglementation de ces méthodes.

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Médoucine écrit au ministre de la Santé

« Il est temps que les médecines douces trouvent leur juste place dans l’accompagnement de la santé et du bien-être des Français ». Envoyée au ministre de la Santé, cette lettre de Médoucine3 tend à défendre la pratique et l’utilité des médecines complémentaires dans l’amélioration du quotidien.
Comme l’explique le réseau, l’utilisation de ces méthodes est de plus en plus courante auprès de la population française. Pourtant, le manque de reconnaissance et de réglementation ne permet pas à ces méthodes d’exercer convenablement. En effet, « l’absence de réglementation laisse champ libre aux dérives », ce qui impacte fortement la pratique de ces professions en engendrant de nombreux préjugés.

Dans sa lettre, Médoucine alerte donc le ministre de la Santé sur la nécessité de poser une réglementation sur les différentes professions bien-être afin de limiter les dérives. Aussi, cette réglementation permettra de reconnaître l’utilité de ces pratiques, telles que la sophrologie, en tant que techniques complémentaires utiles au bien-être de la population.

Bien-être : l’utilité de la sophrologie

Effectivement, en tant que méthode de relaxation, la sophrologie permet d’atténuer les problématiques du quotidien (anxiété, troubles du sommeil, douleurs, etc.). Basée sur des techniques de respiration contrôlée, de détente musculaire et de visualisation, la sophrologie permet d’être à l’écoute de son corps, pour ainsi apprendre à gérer ses émotions.

Aussi, cette méthode s’avère très efficace dans un parcours de soin4, en complément d’un suivi médical. En effet, elle permet de retrouver un mieux-être auprès des personnes malades. D’ailleurs, de nombreux établissements de santé5 reconnaissent son utilité en l’intégrant dans ce secteur.

Ajoutée à cela, cette discipline représente un atout précieux pour de nombreuses situations : sport, travail, accouchement, etc. En effet, utilisée quotidiennement, la sophrologie permet de stimuler sa concentration, de se préparer à un événement ou encore de booster ses performances.

En somme, la pratique de la sophrologie possède d’innombrables bienfaits, dont il serait dommage de s’en priver !