Le somnambulisme, ce phénomène étrange où une personne dort tout en étant en état de marche, suscite fascination et interrogation depuis des siècles. À ce jour, 2 à 4% des adultes sont somnambules, contre 10 à 15% des enfants¹. Alors, pour aider une personne atteinte de  somnambulisme, la sophrologie est une réelle alliée.

Le somnambulisme est un trouble du sommeil surprenant. En effet, les personnes somnambules, sont pendant le sommeil paradoxal, dans un état d’éveil inconscient. Certaines personnes peuvent rester éveiller dans leur lit, voire se lever, manger et faire des activités pouvant être plus ou moins dangereuses, pour eux et pour autrui. Alors, ce phénomène créer des situations pour les somnambules, mais la plupart d’entre eux ne gardent aucun souvenir de ces épisodes. Aussi, plusieurs causes² ont été identifiées chez les personnes souffrant de somnambulisme tels que :

• hérédité 
• âge
• stress
• alcool
• sommeil 

Toutefois, d’autres situations peuvent avoir des conséquences sur le sommeil et sa qualité. Ainsi, d’autres raisons peuvent expliquer la survenue d’une crise chez l’adulte et chez l’enfant. Bien qu’une personne somnambule se doit de suivre un suivi médical, elle peut également compter sur la sophrologie.

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En complément du suivi médical, la sophrologie s’avère être une approche bénéfique pour les personnes sujettes au somnambulisme. En effet, la sophrologie permet de se relaxer et à mieux gérer leur stress. De fait, les somnambules peuvent améliorer la qualité de leur sommeil et réduire les risques³ de crises nocturnes. Alors l’accompagnement sophrologique, par le biais de différents exercices, permettra d’apaiser l’esprit et de favoriser un sommeil réparateur. De plus, en consultant un sophrologue spécialisé⁴, les somnambules bénéficieront d’un accompagnement personnalisé afin de gérer leur trouble du sommeil et de retrouver un équilibre propice à un sommeil paisible.

A savoir : si l’on assiste à une crise de somnambulisme, il faut parler calmement au somnambule, avec une voix douce, lui suggérer de revenir dans le lit. Il faut alors, éviter de le maintenir brutalement car il peut devenir agressif (sauf bien sûr s’il se met en danger).